L'église de Laguenne renaît — Diocèse de Tulle

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L'église de Laguenne renaît

Publié le 22/11/2019
Appel aux bonnes volontés pour continuer à remettre l'église en état : balayage, nettoyage des cuivres, dépoussiérage des statues, entretien des sols en bois, lavage et repassage du linge sacré …

Depuis le 11 novembre dernier, notre sanctuaire connaît un nouvel essor. Sous l’impulsion de quelques fidèles, une vaste opération de balayage a été entreprise. Les bancs ont été dépoussiérés et cirés. De même que le fauteuil de présidence. Quelques statues ont été remises en place, après un nécessaire nettoyage : Sainte Jeanne D’arc et Ste Thérèse de l’Enfant Jésus, notamment Notre Dame de Lourdes a été replacée dans la niche qui lui est réservée. Le maître-autel a retrouvé sa croix et ses porte-cierges. La sacristie exhale une douce odeur de cire. Et surtout, la statue de Saint Calmine et sa châsse sont reparues !

Bref, un nouvel élan appréciable et largement visible, comme l’a souligné l’Abbé Roland NENE, qui y célébrait une première messe, dans ces nouvelles conditions, samedi 16 novembre dernier.

Bien des choses restent pourtant à faire, comme le souligne l’un des responsables de l’opération. Aussi, n’hésitez pas à candidater et à venir choisir la nature du travail que vous souhaitez réaliser, lors de vos disponibilités : balayage, nettoyage des cuivres, dépoussiérage des statues, entretien des sols en bois, lavage et repassage du linge sacré …* A défaut, une offrande, aussi modeste soit-elle, servira à acquérir cire, brosses, produits nettoyant ou paille de fer !

La Foi s’exprime toujours plus aisément, devant la beauté des sites consacrés au Bon Dieu !

*Une feuille se trouve apposée sur la porte d’entrée de l’église proposant 6 catégories de travaux

 

L’église Saint Calmine de LAGUENNE, dont l’origine remonte au XIIème siècle, a fait l’objet de travaux importants au cours des années 2015 et 2016. A l’intérieur en particulier, nous pouvons aujourd’hui apprécier la qualité des réfections des sols, certes partielles, mais aussi la restauration soignée des décors peints. Cependant, statues, ornements et meubles liturgiques n’étaient pas reparus depuis. De surcroît, poussière et toiles d’araignées avaient envahi l’ensemble de l’édifice, des sols aux plafonds. La messe mensuelle qui y était célébrée ravivait les cœurs, mais dans un ensemble hélas plutôt triste.

 

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