Merci, Sœur Chantal ! — Diocèse de Tulle

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Merci, Sœur Chantal !

Publié le 09/10/2018
Jeudi 27 septembre, Soeur Chantal Nolorgues est entrée dans la Vraie Vie, à Rodez. La communauté d'Ussel lui dit Aurevoir et se souvient d'elle : "Elle nous réunissait dans la prière, le partage et le respect."

 

De 1996 à 2006, Soeur Chantal, de la communauté des Soeurs de Saint Joseph, a eu la responsabilité de l'aumônerie d'Ussel. Ses obsèques ont eu lieu à Rodez, le 1er octobre et une bonne vingtaine de Corréziens s'y sont rendus. Des adultes et des jeunes qui l'ont côtoyée ont tenu à faire part de ce qu'elle leur a apporté. Voici quelques extraits des témoignages de Martine, Edwige, Angélique, Marianne et Jérémy.

« Ayant travaillé à ses côtés à l'Aumônerie, depuis son arrivée à Ussel, jusqu'à son départ pour Rodez, j'ai beaucoup apprécié son caractère enjoué et ses qualités relationnelles. Elle aura certainement marqué bien des jeunes par sa foi dont elle témoignait avec conviction... »

« A peine passée la porte de l'aumônerie, nous trouvions Chantal, le regard pétillant : « Ah, vous voilà, je suis contente de vous voir ! » Le simple fait de la rencontrer nous remontait le moral. Soeur Chantal était à l'écoute des parents et renvoyait toujours une image positive des jeunes. Elle a su transmettre sa pédagogie aux animateurs qu'elle a formés. Elle faisait vivre la pastorale des jeunes en les rassemblant autour des différentes activités : service, préparations et célébration des sacrements... »

« Je me souviendrai d'elle comme de la personne qui a contribué à mon épanouissement personnel... »

« Nous avons grandi auprès de toi dans la joie, la foi, et, pour cela, Merci à toi... »

« Chantal, c'était la joie de vivre par son inimitable accent aveyronnais et son sourire inoubliable. Elle nous réunissait dans la prière, le partage et le respect. Elle était également une excellente cuisinière. Je me souviens des aligots, des confitures et des tisanes au goût de foin qui étaient  le fruit de notre récolte lors des camps Saint Joseph et que nous partagions autour du feu de camp. Et puis, il y a eu la maladie. Lorsqu'on lui demandait : « ça va, Chantal ? » toujours elle répondait « aussi bien que possible ; le moral est bon ».